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SharePoint Diagnostic Studio 2010 (SPDiag 3.0) (SharePoint Server 2010)

 

S’applique à : SharePoint Server 2010

Dernière rubrique modifiée : 2011-07-29

Microsoft SharePoint Diagnostic Studio 2010 (SPDiag version 3.0) a été créé en vue de simplifier et de normaliser la résolution des problèmes liés à Produits Microsoft SharePoint 2010 et de fournir un affichage unifié des données recueillies. Les administrateurs de Produits SharePoint 2010 peuvent utiliser SPDiag 3.0 pour recueillir des informations pertinentes à partir d’une batterie, afficher les résultats sous forme significative, identifier les problèmes de performances et partager ou exporter les données recueillies et les rapports à des fins d’analyse par le personnel de support technique Microsoft.

La plateforme Produits SharePoint 2010 est extrêmement complexe et peut avoir une large gamme de champs d’application. Le déploiement, la gestion et le dépannage de Produits SharePoint 2010 requièrent des compétences étendues couvrant de nombreux domaines technologiques, notamment la sécurité, la mise en réseau, les technologies Web tels que ASPX et Microsoft SQL Server.

En général, le dépannage de Produits SharePoint 2010 nécessite la collecte manuelle d’une large gamme de données à partir de serveur de la batterie affectée, puis l’analyse manuelle de ces données en vue de déterminer la source du problème. Ce processus peut être complexe et long, et la collecte de données proprement dite peut imposer une lourde charge sur les serveurs.

SPDiag simplifie grandement le processus de dépannage en fournissant une interface unique pour la collecte et la présentation des données dans une série de rapports préconfigurés qui couvrent un large éventail de points de données couramment utilisés pour diagnostiquer les performances de SharePoint et les problèmes liés à la capacité. Bien que la plupart des scénarios de dépannage courants soient gérés par SPDiag, certains problèmes SharePoint peuvent exiger une analyse de données supplémentaires non recueillies par SPDiag.

Dans cet article :

  • Nouveautés dans SPDiag 3.0

  • Installation et configuration de SPDiag 3.0

  • Utilisation de SPDiag 3.0

  • Problèmes connus

Nouveautés dans SPDiag 3.0

SharePoint Diagnostic Studio 2010 (SPDiag version 3.0) contient plusieurs mises à jour et nouvelles fonctionnalités importantes qui accroissent son efficacité comme outil de dépannage. SPDiag 3.0 étant une nouvelle version, il se peut que certaines fonctionnalités présentes dans les versions précédentes de SPDiag y soient absentes.

Voici une liste des nouvelles fonctionnalités et modifications apportées à SPDiag 3.0 :

  • Rapports préconfigurés   SPDiag fournit une sélection de rapports préconfigurés qui agrègent les données de la batterie SharePoint afin de présenter des vues utiles pour les scénarios de dépannage SharePoint courants. Pour plus d’informations, voir Utilisation de rapports préconfigurés plus loin dans cet article.

  • Instantanés   Vous pouvez effectuer un instantané de votre batterie qui agrège des images de rapports, des informations sur la topologie de la batterie, des journaux ULS (Unified Logging Service) et des données des bases de données d’utilisation. Cela simplifie la consolidation des principales informations de dépannage relatives à une batterie SharePoint et leur partage avec d’autres utilisateurs ou leur conservation à des fins de comparaison et d’analyse de tendances.

  • Amélioration de l’intégration avec SharePoint Server   Amélioration de la collecte de données à partir de sources multiples.

Installation et configuration de SPDiag 3.0

SPDiag est fourni avec le Kit de ressources d’administration Microsoft SharePoint 2010 v2. Pour télécharger ce kit, voir Kit de ressources d’administration SharePoint 2010 (SharePoint Server 2010).

Vous pouvez installer SPDiag sur un serveur de la batterie ou sur un ordinateur distant n’appartenant pas à la batterie. Vous devez être connecté avec un compte d’utilisateur disposant de privilèges d’administration de la batterie pour pouvoir créer un projet ou accéder à un projet existant.

Certains travaux de diagnostics SPDiag 3.0 exigent que le rôle sysadmin ou sqladmin ait été assigné au compte de batterie sur l’instance de SAL Server où résident les bases de données Produits SharePoint 2010.

Pour installer SPDiag 3.0, sélectionnez SharePoint Diagnostic Studio dans le menu d’installation du Kit de ressources d’administration SharePoint 2010 v2. Ensuite, appliquez la procédure suivante pour configurer l’ordinateur client et la batterie SharePoint Server pour une utilisation avec SPDiag.

Pour configurer l’ordinateur client et la batterie SharePoint Server pour une utilisation avec SPDiag

  1. Sur l’ordinateur sur lequel vous installez SPDiag, installez le .NET Framework 3.5.

  2. Si vous le souhaitez, installez le Service Pack ou la mise à jour cumulative les plus récents pour SharePoint Server 2010 sur tous les serveurs de la batterie afin de vous assurer que les mises à niveau de performances les plus récentes ont été installées. La mise à jour cumulative d’août 2010 de SharePoint Server 2010, en particulier, contient des mises à jour des bases de données d’utilisation susceptibles d’améliorer considérablement les performances de certains rapports SPDiag.

  3. Sur l’ordinateur sur lequel vous installez SPDiag, installez Microsoft Chart Controls for Microsoft .NET Framework 3.5.

  4. Si vous installez SPDiag sur un ordinateur client distant, vous devez activer la communication à distance Windows PowerShell et la stratégie d’exécution remotesigned sur le serveur de la batterie auquel vous allez connecter SPDiag.

    Important

    La stratégie d’exécution remotesigned doit être activée sur le serveur de la batterie auquel vous allez connecter SPDiag même lorsque vous installez SPDiag sur le serveur de la batterie.

    Dans Windows PowerShell sur le serveur cible, exécutez les applets de commande suivantes et tapez Oui à l’invite :

    1. Enable-PSRemoting -force

    2. Enable-WSManCredSSP -role Server -force

    3. Set-Item WSMan:\localhost\Shell\MaxMemoryPerShellMB 1000

    4. Set-ExecutionPolicy RemoteSigned

  5. Si vous installez SPDiag sur un ordinateur client distant, activez la communication à distance Windows PowerShell sur l’ordinateur client. Dans Windows PowerShell sur l’ordinateur client, exécutez les applets de commande suivantes et tapez Oui à l’invite :

    1. Enable-PSRemoting -force

    2. Enable-WSManCredSSP -role Client -DelegateComputer “<ordinateur_cible>” -force

      Notes

      La valeur de <ordinateur_cible> doit être le nom d’hôte du serveur Web SharePoint Server auquel vous souhaitez vous connecter.

  6. Assurez-vous que l’option Collection des données d’utilisation et d’intégrité a été configurée sur la batterie cible. Le fournisseur de diagnostics SPDiag recueille des données à partir de la base de données d’utilisation. Si celle-ci n’a pas été mise en service avant l’utilisation de SPDiag, vous recevrez le message d’erreur « Usage Database is not provisioned. Please provision it first ».

Pour plus d’informations sur la façon de configurer la collecte des données d’utilisation et d’intégrité, voir Configurer la collecte des données d’utilisation et d’intégrité (SharePoint Server 2010).

Utilisation de SPDiag 3.0

SPDiag 3.0 est un outil de diagnostic qui sert à recueillir, filtrer et afficher des données d’une batterie SharePoint à des fins de dépannage. SPDiag est un outil en lecture seule ; il ne peut apporter aucune modification à une batterie. Vous pouvez utiliser SPDiag pour vous aider à découvrir des problèmes par vous-même ou comme moyen de collecte des données requises par le personnel de support technique pour aider à dépanner une batterie.

Les informations fournies dans cette section expliquent comment créer et importer des projets, filtrer et recueillir des données, générer des graphiques et des rapports et exporter des données vers un fichier.

SPDiag recueille et agrège des données extraites des journaux ULS, des journaux des événements Windows, des compteurs de performance, des journaux SharePoint et des bases de données SQL, puis il affiche ces données dans différents rapports préconfigurés conçus pour exposer des caractéristiques et des tendances de capacité et de performances spécifiques.

Dans cette section :

  • Utilisation de projets

  • L’interface utilisateur de SPDiag

  • Utilisation de rapports préconfigurés

Utilisation de projets

Un projet SPDiag se compose d’une collection de données extraites de SharePoint Server, des services Internet (IIS, Internet Information Services), des journaux d’événements et ULS, ainsi que de données des journaux de compteurs de performance extraites des serveurs de la batterie. Les métadonnées de projets sont stockées dans un fichier .ttfarm sur l’ordinateur local. Un projet peut être enregistré indéfiniment et les données du projet peuvent être exportées de différentes manières à des fins d’archivage ou de partage.

Création d’un projet

Pour pouvoir utiliser SPDiag à des fins de dépannage de batterie, vous devez créer un projet. Un fichier .ttfarm est alors créé sur l’ordinateur sur lequel SPDiag est installé et plusieurs tables sont créées dans la base de données d’utilisation de la batterie.

Créer un projet

  1. Dans la fenêtre d’application SPDiag, cliquez sur New Project.

  2. Dans la boîte de dialogue Create Project, tapez le nom d’hôte du serveur auquel vous souhaitez vous connecter, puis cliquez sur Create Project.

    Conseil

    Dans certains environnements, la connexion peut échouer si vous n’utilisez pas le nom de domaine complet du serveur cible.

  3. Dans la fenêtre Windows PowerShell Credential Request, tapez un compte d’utilisateur et un mot de passe disposant de privilèges d’administrateur de batterie sur la batterie SharePoint Server cible, puis cliquez sur OK.

  4. Le nouveau projet est créé et la fenêtre de vue d’ensemble s’affiche dans la fenêtre principal de SPDiag.

Ouverture d’un projet

Pour ouvrir un projet, vous devez avoir accès au fichier .ttfarm du projet. Si ce fichier a été créé sur un autre ordinateur exécutant SPDiag, assurez-vous que l’ordinateur que vous utilisez pour ouvrir le projet a été configuré correctement à l’aide des instructions fournies dans la section Installation et configuration de SPDiag 3.0 plus haut dans cet article.

Vous devez également être connecté à un compte disposant d’informations d’identification d’administrateur de la batterie ou entrer les coordonnées d’un compte à l’invite.

Ouvrir un projet

  1. Dans la fenêtre d’application SPDiag, cliquez sur Open Project.

  2. Dans la boîte de dialogue Open, naviguez jusqu’au fichier .ttfarm souhaité, sélectionnez-le, puis cliquez sur Open.

L’interface utilisateur de SPDiag

L’application SPDiag est divisée en quatre sections principales : barre de menus, volet Guide, volet Reports et volet Report Display, chacune étant décrite dans cette section.

Barre de menus

La barre de menus apparaît en haut de la fenêtre d’application.

Barre de menus

  • New Project   Permet de créer un projet SPDiag.

  • Open Project   Permet d’ouvrir un projet SPDiag existant à partir d’un fichier .ttfarm.

  • Take Snapshot   Permet de créer un instantané de la batterie constitué d’images PNG de tous les rapports ouverts, d’un document de texte qui contient des informations sur la topologie de la batterie et de fichiers journaux issus du processus de prise d’instantané. Deux genres d’instantanés sont disponibles : Light et Full.

    • Light Snapshot   Exporte les rapports et informations de topologie de batterie ouverts actuellement

    • Full Snapshot   Toutes les données Light Snapshot et les données tirées des journaux ULS et de la base de données d’utilisation SharePoint pour une plage de temps spécifiée. Lorsque l’option Full Snapshot est sélectionnée, vous pouvez utiliser les champs Start Time et End Time pour spécifier la plage de temps pour la collecte des données de base de données d’utilisation et de journaux ULS.

  • Search   Si vous recherchez une demande spécifique et que vous connaissez l’ID de corrélation ou le compte d’utilisateur duquel provenait la demande, cliquez sur ce bouton pour ouvrir la boîte de dialogue Search. Dans la boîte de dialogue Search, vous pouvez entrer l’ID de corrélation, le compte d’utilisateur et la date et l’heure estimées de la demande, ce qui démarre la recherche à partir de ce point.

  • Assign Permission   Vous pouvez affecter des autorisations de batterie SharePoint à un groupe ou un compte d’utilisateur spécifique afin d’autoriser l’accès à SPDiag.

Volet Guide

Le volet Guide se trouve au milieu à gauche de la fenêtre d’application. Il contient des informations sur chaque rapport, notamment une description des données affichées, des instructions sur la manière de manipuler et filtrer les données, ainsi que des instructions de dépannage spécifiques au rapport, si disponibles. Certains rapports proposent des instructions sur la manière d’identifier un problème et des suggestions de résolution.

Volet Reports

Le volet Reports se trouve en bas à gauche de la fenêtre d’application.

Volet Rapports

Le volet Reports est un menu développable qui contient tous les rapports que vous pouvez afficher. Cliquez sur chaque nœud pour développer la section et afficher les rapports contenus, et double-cliquez sur un rapport pour l’ouvrir dans le volet Report Display.

Lorsque vous utilisez le bouton Save de la barre d’outils de rapport pour enregistrer un rapport, celui-ci apparaît dans le nœud Customs en bas du volet Reports.

Pour plus d’informations et pour obtenir une liste complète des rapports disponibles, voir Utilisation de rapports préconfigurés plus loin dans cet article.

Volet Report Display

Le volet Report Display occupe la partie principale de la fenêtre d’application. Lorsqu’un projet est créé ou ouvert, le rapport de vue d’ensemble est affiché.

Volet d’affichage de rapports

Deux principaux rapports sont affichés sous forme de graphiques dans le rapport de vue d’ensemble : Availability et Latency Percentiles.

  • Rapport Availability   Fournit un graphique de la disponibilité du service Web HTTP.

  • Rapport Latency Percentiles   Indique la durée nécessaire pour satisfaire les demandes les plus courantes et rapides.

Comme avec tous les graphiques dans SPDiag, vous pouvez agrandir une plage de temps spécifique en sélectionnant la zone sur le graphique à l’aide de la souris. Effectuée sur le rapport de vue d’ensemble, cette opération permet d’ouvrir, dans un nouvel onglet dans la fenêtre principale de SPDiag, le rapport sélectionné qui contient les résultats pour la zone sélectionnée.

Lorsque vous ouvrez un rapport en double-cliquant dessus dans le volet Reports, SPDiag recueille les données nécessaires à partir des serveurs de la batterie et affiche le rapport sous un nouvel onglet dans la fenêtre principale. Cet affiche se compose de trois éléments : barre d’outils de rapport, volet Filter et volet Data Display.

Barre d’outils Report

La barre d’outils de rapport apparaît en haut de chaque onglet de rapport ouvert.

Barre d’outils Rapports

La barre d’outils fournit des outils de manipulation de données de rapport, notamment pour actualiser, enregistrer, exporter et modifier la plage de temps affichée des rapports.

  • Refresh   Permet d’extraire des données à jour depuis les serveurs de la batterie.

  • Save   Permet d’enregistrer le rapport actuel dans un fichier XML ayant une extension SPR. Les fichiers sont enregistrés dans le dossier C:\Utilisateurs\Administrateur\Documents\SharePoint Diagnostic Studio\Custom Reports sur l’ordinateur client SPDiag. Ils peuvent être ouverts dans tout éditeur de texte ou XML.

  • Hour   Permet d’étalonner l’affichage des données à la dernière heure écoulée. Ce bouton et les trois autres boutons d’étalonnage affectent automatiquement l’heure actuelle comme heure de fin de la plage.

  • 6 Hours   Permet d’étalonner l’affichage des données aux six dernières heures.

  • 12 hours   Permet d’étalonner l’affichage des données aux 12 dernières heures.

  • Day   Permet d’étalonner l’affichage des données à la dernière période de 24 heures.

  • Open Log   Si des données issues de fichiers journaux sont comprises dans un rapport, vous pouvez sélectionner le journal dans le volet Filter, puis cliquer sur le bouton Open Log pour afficher le contenu du fichier journal brut.

  • Export   Permet d’exporter le rapport actuel dans un fichier d’image PNG dans le dossier C:\Utilisateurs\Administrateur\Documents\SharePoint Diagnostic Studio\Exported Reports\<date_et_heure> sur l’ordinateur client SPDiag. Le nom du dossier final est généré de manière dynamique d’après la date et l’heure (au format 24 heures) de génération du rapport, au format année.mois.jour-heure.minute.seconde. Par exemple, un rapport exporté le 31 mars 2011 à 18:11:22 serait enregistré dans un dossier nommé 2011.3.31-18.11.22.

Volet Filter

Le volet Filter fournit des champs spécifiques aux rapports qui vous permettent de filtrer les données de rapport et les plages de date et d’heure à afficher. Cliquez sur un champ pour modifier sa valeur et mettre à jour les données du rapport.

Volet de filtre

Volet Data Display

Le volet Data Display contient des graphiques, tableaux et fichiers journaux pour le rapport affiché.

Volet d’affichage de données

Certains rapports contiennent un tableau dans la partie supérieure du volet, qui contient une liste d’objets, ainsi qu’un volet distinct dans la partie inférieure, qui fournit des détails sur les objets que vous pouvez sélectionner dans le tableau. Par exemple, dans le rapport Timer Jobs, une liste de travaux du minuteur est affichée dans la moitié supérieure du volet Data Display. La sélection d’un travail du minuteur dans cette liste permet d’afficher des informations de journaux de suivi ULS détaillées concernant ce travail dans la moitié inférieur du volet.

Volet d’affichage double

Vous pouvez également cliquer avec le bouton droit sur un champ pour filtrer le rapport d’après cette valeur à l’aide de la fonctionnalité QuickFilter. Pour mettre à jour le rapport, cliquez avec le bouton droit sur un champ, puis sélectionnez une fonction dans le menu QuickFilter.

Menu QuickFilter

  • =   Permet de filtrer d’après une valeur exacte.

  • <>   Permet de filtrer d’après toutes les valeurs comprises dans une plage sélectionnée.

  • >   Permet de filtrer d’après toutes les valeurs supérieures à la valeur sélectionnée.

  • <   Permet de filtrer d’après toutes les valeurs inférieures à la valeur sélectionnée.

Lorsque les données d’un enregistrement spécifique dans un rapport indiquent l’existence d’un problème, un cercle rouge avec un point d’exclamation apparaît au début de l’enregistrement. Le fait de placer le pointeur de la souris sur le cercle rouge permet d’afficher une info-bulle contenant des informations relatives au problème.

Info-bulle d’erreur

Lorsqu’un rapport contient un élément d’affichage graphique, tel qu’un graphique ou un tableau, vous pouvez sélectionner des parties du graphique à l’aide de la souris afin d’agrandir une plage de temps spécifique. Pour rétablir la plage de temps d’origine, cliquez avec le bouton droit n’importe où sur le graphique.

Notes

La collecte des données peut être longue, en particulier si la latence réseau est importante entre l’ordinateur client SPDiag et les serveurs de la batterie ou lors des périodes d’intense charge. Il n’existe aucun moyen d’annuler le processus de collecte de données et d’affichage du rapport une fois ce processus commencé et SPDiag cessera de répondre tant que le processus ne sera pas achevé.

Utilisation de rapports préconfigurés

SPDiag proposent différents rapports qui présentent des données issues de journaux, de bases de données SharePoint et de compteurs de performances. Les rapports recueillent des données à partir de la batterie SharePoint et affichent des informations agrégées axées sur des aspects spécifiques des performances de la batterie.

Vous pouvez également commencer votre recherche en ouvrant directement un rapport dans le volet Reports affiché au bas de la fenêtre d’instructions. Ces rapports sont décrits dans les paragraphes suivants.

Groupe de rapports Base

Le groupe de rapports Base contient plusieurs rapports qui fournissent des informations sur des indicateurs de performances clés généraux.

HTTP Requests

Ce rapport affiche toutes les demandes HTTP émises dans la batterie. Lorsque vous sélectionnez une ligne dans le rapport du haut, le suivi complet de la demande est extrait et affiché dans le volet inférieur.

Cliquez avec le bouton droit sur une cellule quelconque pour ajouter un filtre avec le nom de colonne et la valeur de votre sélection. En guise d’alternative, vous pouvez filtrer ces résultats à l’aide de la liste de filtres qui se trouve en haut du rapport. Lors de l’utilisation de l’opérateur LIKE, ’%’ est traité comme un caractère générique.

Cliquez sur un en-tête de colonne pour trier selon cette colonne. Par exemple, pour rechercher les demandes les plus lentes, cliquez sur la colonne Duration. Cliquez de nouveau sur l’en-tête pour inverser l’ordre des résultats.

Une fois que vous avez personnalisé la liste de filtres, vous pouvez enregistrer le rapport afin de ne pas avoir à le générer de nouveau. Les rapports enregistrés sont accessibles sous le nœud Personnalisés dans le volet Rapports sur le côté gauche de l’écran. La prochaine fois que vous chargerez votre rapport, il restaurera les tris et les filtres enregistrés et les appliquera aux nouvelles données.

Pour enregistrer le jeu de résultats actuel afin de le partager et de le visualiser dans une feuille de calcul, cliquez sur le bouton Exporter.

Windows Events

Ce rapport affiche les événements critiques et liés à SharePoint extraits des journaux des événements Windows sur tous les ordinateurs de la batterie. Utilisez ce rapport pour rechercher les problèmes critiques qui se sont produits durant la période spécifiée.

Cliquez avec le bouton droit sur une cellule quelconque pour ajouter un filtre avec le nom de colonne et la valeur de votre sélection. En guise d’alternative, vous pouvez filtrer ces résultats à l’aide de la liste de filtres qui se trouve en haut du rapport. Lors de l’utilisation de l’opérateur LIKE, ’%’ est traité comme un caractère générique.

Cliquez sur un en-tête de colonne pour trier selon cette colonne.

Une fois que vous avez personnalisé la liste de filtres, vous pouvez enregistrer le rapport afin de ne pas avoir à le générer de nouveau. Les rapports enregistrés sont accessibles sous le nœud Personnalisés dans le volet Rapports sur le côté gauche de l’écran. La prochaine fois que vous chargerez votre rapport, il restaurera les tris et les filtres enregistrés et les appliquera aux nouvelles données.

Pour enregistrer le jeu de résultats actuel afin de le partager et de le visualiser dans une feuille de calcul, cliquez sur le bouton Exporter.

ULS Trace Issues

Ce rapport affiche les problèmes détectés dans les journaux de suivi ULS (Unified Logging Service). Le suivi de haut niveau effectué lorsqu’un problème se produit peut fournir des indices quant à la cause du problème. Lorsque vous sélectionnez une ligne dans le rapport du haut, le suivi complet de la demande ou du travail du minuteur est extrait et affiché dans le volet inférieur.

Cliquez avec le bouton droit sur une cellule quelconque pour ajouter un filtre avec le nom de colonne et la valeur de votre sélection. En guise d’alternative, vous pouvez filtrer ces résultats à l’aide de la liste de filtres qui se trouve en haut du rapport. Lors de l’utilisation de la clause LIKE, ’%’ est traité comme un caractère générique.

Cliquez sur un en-tête de colonne pour trier selon cette colonne. Par exemple, pour rechercher les demandes les plus lentes, cliquez sur la colonne Duration. Cliquez de nouveau sur l’en-tête pour inverser l’ordre de tri.

Une fois que vous avez personnalisé la liste de filtres, vous pouvez enregistrer le rapport afin de ne pas avoir à le générer de nouveau. Les rapports enregistrés sont accessibles sous le nœud Personnalisés dans le volet Rapports sur le côté gauche de l’écran. La prochaine fois que vous chargerez votre rapport, il restaurera les tris et les filtres enregistrés et les appliquera aux nouvelles données.

Pour enregistrer le jeu de résultats actuel afin de le partager et de le visualiser dans une feuille de calcul, cliquez sur le bouton Exporter.

Timer Jobs

Ce rapport affiche toutes les exécutions de travaux du minuteur. Lorsque vous sélectionnez une ligne dans le rapport du haut, le suivi complet du travail du minuteur est extrait et affiché dans le volet inférieur.

Cliquez avec le bouton droit sur une cellule quelconque pour ajouter un filtre avec le nom de colonne et la valeur de votre sélection. En guise d’alternative, vous pouvez filtrer ces résultats à l’aide de la liste de filtres qui se trouve en haut du rapport. Lors de l’utilisation de la clause LIKE, ’%’ est traité comme un caractère générique.

Cliquez sur un en-tête de colonne pour trier selon cette colonne. Par exemple, pour rechercher les travaux les plus lents, cliquez sur la colonne Duration. Cliquez de nouveau sur l’en-tête pour inverser l’ordre de tri.

Une fois que vous avez personnalisé la liste de filtres, vous pouvez enregistrer le rapport afin de ne pas avoir à le générer de nouveau. Les rapports enregistrés sont accessibles sous le nœud Personnalisés dans le volet Rapports sur le côté gauche de l’écran. La prochaine fois que vous chargerez votre rapport, il restaurera les tris et les filtres enregistrés et les appliquera aux nouvelles données.

Pour enregistrer le jeu de résultats actuel afin de le partager et de le visualiser dans une feuille de calcul, cliquez sur le bouton Exporter.

Performance Counters

Ce rapport affiche des données chronologiques des compteurs de performances clés pour ceux recueillis dans la base de données d’utilisation.

Vous pouvez filtrer par catégorie, compteur, instance ou ordinateur à l’aide des commandes de filtre personnalisées. Sélectionnez la catégorie de votre choix ; les trois commandes de filtres supplémentaires (Counter, Instance, Machine) seront remplies de manière dynamique avec les résultats pertinents. Une fois les sélections de filtrage effectuées, cliquez sur Refresh pour regénérer le rapport. Placez le pointeur sur une série dans le graphique afin de déterminer la catégorie, le compteur, l’instance ou l’ordinateur associé à la valeur.

Vous pouvez utiliser l’applet de commande Windows PowerShell Add-SPDiagnosticsPerformanceCounter pour ajouter d’autres compteurs de performances à des serveurs de la batterie SharePoint. Tout nouveau compteur que vous ajoutez sera inclus automatiquement dans le jeu de données SharePoint Diagnostic Studio.

Groupe de rapports Capacity group

Le groupe de rapports Capacity contient plusieurs rapports qui fournissent des informations sur des indicateurs de capacité de la batterie.

SQL Server Query IO Over Time

Ce rapport affiche les entrées/sorties (E/S) de procédures stockées coûteuses au fil du temps.

Le graphique du haut montre les cinq requêtes ou procédures stockées les plus coûteuses au fil du temps, basées sur les vues de gestion dynamique SQL.

Le tableau du bas contient des informations détaillées sur les requêtes coûteuses, notamment le nombre total d’E/S pour la période sélectionnée, le nombre moyen d’E/S par appel, le nombre d’exécution et le coût processeur.

Recherchez les éventuelles pointes ou groupements de pointes et l’heure à laquelle elles se sont produites. Ces pointes peuvent indiquer un appel de procédure stockée coûteux ou un plan d’exécution incorrect.

Recherchez les requêtes ayant des valeurs élevées dans les colonnes Execution Count et Total IO associées à des valeurs faibles dans la colonne Average IO. Ces requêtes peuvent faire l’objet d’appels trop fréquents.

Cliquez sur le bouton Export pour enregistrer le plan d’exécution dans un fichier, depuis lequel vous pourrez le lire plus facilement.

CPU

Ce rapport affiche l’utilisation chronologique des processeurs, exprimée en pourcentage de la capacité de processeur totale, consommée par chaque processus sur chaque serveur de la batterie. Les données utilisées pour créer ce graphique sont extraites du compteur de performance | Processeur | % temps processeur | _Total.

Notes

Les données des compteurs de performances sont disponibles uniquement à partir de la date et de l’heure d’ouverture du projet SPDiag pour la batterie cible.

Process Memory (MB)

Ce rapport affiche la mémoire physique disponible, exprimée en mégaoctets (Mo), sur chaque serveur de batterie au fil du temps. Les données utilisées pour créer ce graphique sont extraites du compteur de performances | Processus | Octets privés | <nom_processus>.

Groupe de rapports Performance

Le groupe de rapports Performance contient plusieurs rapports fournissant des informations sur des indicateurs de performances de batterie spécifiques liés à la latence et à SQL Server.

SQL Read Intensive Traces

Ce rapport montre les requêtes SQL Server ayant lu plus de 50 000 pages (1 page = 8 kilo-octets).

Lorsque des requêtes lisent une grande quantité de données, le temps de réponse de SQL Server risque de diminuer car des données utiles sont forcées hors de la mémoire et d’autres requêtes effectuent des lectures physiques coûteuses. Cela peut affecter la latence pour l’utilisateur final en cas d’opération utilisateur interrogeant des données qui résident sur le même ordinateur SQL Server.

Si un ID de corrélation est présent dans le texte de la requête, vous pouvez l’utiliser pour rechercher la demande ou le travail du minuteur ayant généré la requête. Copiez l’ID de corrélation dans le champ de filtre du rapport HTTP Requests ou Timer Jobs.

Latency Tier Breakdown

Ce rapport fournit une moyenne mobile de la latence de page de demande HTTP côté serveur au fil du temps. La durée nécessaire à l’affichage de la demande est fractionnée selon les trois couches qu’une demande HTTP ordinaire traverse lors de son traitement.

  • SQL Server   Si des requêtes SQL Server prennent plus de 250 ms, utilisez le rapport SQL Overview pour identifier les goulots d’étranglement SQL Server.

  • Application Servers   Si des appels de service prennent plus de 250 ms, vous pouvez utiliser la colonne Service Call Duration du rapport HTTP Requests pour identifier les demandes les plus affectées par des appels de service.

  • Web Server   S’il semble n’y avoir aucun goulot d’étranglement dans la couche SQL Server ou la couche de serveur d’applications et que des demandes prennent plus de 250 ms sur le serveur Web, utilisez la colonne Duration du rapport HTTP Requests pour afficher les demandes les plus lentes globalement. Vous pouvez examiner le rapport Latency All Requests pour déterminer si le problème est restreint à un seul ordinateur. Pour finir, vous pouvez examiner le rapport CPU afin de déterminer si un ou plusieurs serveurs Web ou serveurs d’applications présentent une utilisation des processeurs excessive.

Changed Objects

Ce rapport montre tous les types d’objets qui ont changé durant une période spécifique, d’après les informations contenues dans le journal des modifications. Ce dernier est un historique des modifications qui se sont produites dans une base de données de contenu. Il permet aux robots de recherche et autres fonctionnalités d’interroger uniquement les modifications qui ont eu lieu depuis une analyse précédente.

Les points de données sont recueillis toutes les k minutes (où, par défaut, k est 5). Ce rapport affiche les données agrégées dans toutes les bases de données de contenu sous forme d’un graphique à barres empilées. Chaque pile représente un type d’objet différent (voir la légende correspondante).

Vous pouvez filtrer ces résultats par base de données ou type d’objet. Par exemple, vous pouvez personnaliser le rapport de façon à afficher uniquement les modifications d’objets apportées sur une base de données nommée contentdb1, en supposant que celle-ci figure dans la liste déroulante de filtre. De même, vous pouvez personnaliser le rapport de façon à afficher uniquement les données pour les modifications ayant le type d’objet Liste, afin de voir toutes les modifications au niveau des listes.

Ces données peuvent aider à comprendre les types de modifications qui se produisent lors d’une période donnée. À partir de ces données, il est possible d’examiner en profondeur le rapport HTTP Requests afin d’identifier les demandes qui provoquent ces modifications, ou encore d’examiner le rapport Changed Objects Per Database pour visualiser les mêmes données à l’aide d’un tableau croisé dynamique différent. Vous pouvez également examiner les rapports Change Types et Change Types Per Database pour étudier plus en détail les types de modifications apportées aux objets.

Si vous souhaitez enregistrer le jeu de résultats actuel pour le partager, cliquez sur le bouton Exporter.

Changed Objects Per Database

Ce rapport montre tous les types d’objets qui ont changé dans des bases de données de contenu spécifiques durant une période spécifique, d’après les informations contenues dans le journal des modifications. Ce dernier est un historique des modifications qui se sont produites dans une base de données de contenu. Il permet aux robots de recherche et autres fonctionnalités d’interroger uniquement les modifications qui ont eu lieu depuis une analyse précédente.

Les points de données sont recueillis toutes les k minutes (où, par défaut, k est 5). Ce rapport affiche les données agrégées dans toutes les bases de données de contenu sous forme d’un graphique à barres empilées. Chaque pile représente un type d’objet différent (voir la légende correspondante).

Vous pouvez filtrer ces résultats par base de données ou type d’objet. Par exemple, vous pouvez personnaliser le rapport de façon à afficher uniquement les modifications d’objets apportées sur une base de données nommée contentdb1, en supposant que celle-ci figure dans la liste déroulante de filtre. De même, vous pouvez personnaliser le rapport de façon à afficher uniquement les données pour les modifications ayant le type d’objet « Liste », afin de voir toutes les modifications au niveau des listes.

Ces données peuvent aider à comprendre les types de modifications qui se produisent lors d’une période donnée. À partir de ces données, il est possible d’examiner en profondeur le rapport HTTP Requests afin d’identifier les demandes qui provoquent ces modifications, ou encore d’examiner le rapport Changed Objects pour visualiser les mêmes données à l’aide d’un tableau croisé dynamique différent. Vous pouvez également examiner les rapports Change Types et Change Types Per Database pour étudier plus en détail les types de modifications apportées aux objets.

Si vous souhaitez enregistrer le jeu de résultats actuel pour le partager, cliquez sur le bouton Exporter.

Change Types

Ce rapport montre tous les types d’objets qui ont changé durant une période spécifique, d’après les informations contenues dans le journal des modifications. Ce dernier est un historique des modifications qui se sont produites dans une base de données de contenu. Il permet aux robots de recherche et autres fonctionnalités d’interroger uniquement les modifications qui ont eu lieu depuis une analyse précédente.

Les points de données sont recueillis toutes les k minutes (où, par défaut, k est 5). Ce rapport affiche les données agrégées dans toutes les bases de données de contenu sous forme d’un graphique à barres empilées. Chaque pile représente un type d’objet différent (voir la légende correspondante).

Vous pouvez filtrer ces résultats par base de données ou type d’objet. Par exemple, vous pouvez personnaliser le rapport de façon à afficher uniquement les modifications d’objets apportées sur une base de données nommée contentdb1, en supposant que celle-ci figure dans la liste déroulante de filtre. De même, vous pouvez personnaliser le rapport de façon à afficher uniquement les données pour les modifications ayant le type de modification Renommer, afin de voir toutes les modifications liées à l’attribution d’un nouveau nom.

Ces données peuvent aider à comprendre les types de modifications qui se produisent lors d’une période donnée. À partir de ces données, il est possible d’examiner en profondeur le rapport HTTP Requests afin d’identifier les demandes qui provoquent ces modifications, ou encore d’examiner le rapport Change Types Per Database pour visualiser les mêmes données à l’aide d’un tableau croisé dynamique différent. Vous pouvez également examiner les rapports Changed Objects et Changed Objects Per Database pour étudier plus en détail les types d’objets modifiés.

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Change Types Per Database

Ce rapport montre tous les types d’objets qui ont changé durant une période spécifique, d’après les informations contenues dans le journal des modifications. Les points de données sont recueillis toutes les k minutes (où, par défaut, k est 5). Ce rapport affiche les données agrégées dans toutes les bases de données de contenu sous forme d’un graphique à barres empilées. Chaque pile représente un type d’objet différent (voir la légende correspondante).

Vous pouvez filtrer ces résultats par base de données ou type de modification. Par exemple, vous pouvez personnaliser le rapport de façon à afficher uniquement les types de modifications apportées sur une base de données nommée contentdb1, en supposant que celle-ci figure dans la zone de liste déroulante de filtre. De même, vous pouvez personnaliser le rapport de façon à afficher uniquement les données pour les modifications ayant le type de modification Renommer, afin de voir toutes les modifications liées à l’attribution d’un nouveau nom.

Ces données sont précieuses pour comprendre les types de modifications qui se produisent lors d’une période donnée et la quantité de modifications dans chaque base de données. À partir de ces données, il est possible d’examiner en profondeur le rapport HTTP Requests afin d’identifier les demandes qui provoquent ces modifications, ou encore d’examiner le rapport Change Types pour visualiser les mêmes données à l’aide d’un tableau croisé dynamique différent. Vous pouvez également examiner les rapports Changed Objects et Changed Objects Per Database pour étudier plus en détail les types d’objets modifiés.

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Latency All Requests

Ce rapport fournit un graphique de la durée de toutes les demandes (jusqu’à une limite de 50 000).

Utilisez ce rapport pour identifier les schémas d’utilisation anormaux. Par exemple, il se peut que la durée de chargement d’un site aux performances médiocres soit toujours de cinq secondes, ce qui se traduirait par une ligne horizontale au niveau de la marque des cinq secondes. Pour une vue plus détaillée, vous pouvez agrandir une zone plus petite, accéder au rapport HTTP Requests et rechercher les demandes qui prennent environ cinq secondes.

Les pointes de latence apparaissent sous la forme de colonnes. Si ces pointes ont une période régulière, vous pouvez examiner le rapport Timer Jobs pour savoir si un travail spécifique s’exécute en même temps.

Latency Percentiles

Ce rapport fournit une vue chronologique de plusieurs seuils de percentile clés afin de vous donner une idée du nombre de demandes affectées par une pointe de latence spécifique.

Par exemple, si les 25 pour cent de demandes les plus rapides prennent une seconde ou plus, il est probable qu’une panne dans une ressource partagée (telle que le réseau ou l’ordinateur SQL Server) affecte toutes les demandes. Utilisez le rapport Latency Tier Breakdown pour rechercher les problèmes au niveau des ressources partagées.

En revanche, si 75 pour cent des demandes sont satisfaites rapidement mais que le 95ème percentile est très élevé, vous devrez peut-être rechercher la cause racine qui affecte une petite quantité de demandes, telle que le blocage dans une base de données ou du code personnalisé qui n’est utilisé que par un sous-ensemble de sites.

Pour afficher les journaux pour les demandes les plus lentes, vous pouvez afficher le rapport HTTP Requests et trier la liste en cliquant sur l’en-tête de la colonne Duration.

Vous pouvez également utiliser les rapports d’utilisation, tels que Requests Per User et Application Workload, pour rechercher les utilisateurs ou applications qui imposent une charge inattendue sur le réseau.

SQL Deadlocks

Ce rapport dresse la liste des blocages SQL Server au fil du temps. SQL Server utilise la détection de blocage pour empêcher que le serveur ne se bloque lorsque deux requêtes incompatibles sont exécutées. Pour éliminer un blocage, une ou plusieurs des requêtes sont annulées. SharePoint Server peut récupérer suite à certains blocages et réessayer d’exécuter les requêtes affectées. Néanmoins, les blocages peuvent parfois entraîner l’échec de certaines demandes.

SQL Blocking

Ce rapport dresse la liste des requêtes SQL ayant bloqué d’autres requêtes SQL.

Les blocages peuvent interrompre toute activité dans la batterie. Lorsque des demandes bloquées sont traitées par la base de données affectée, toute la mémoire de serveur Web disponible finira par être consommée et les serveurs affectés finiront par cesser de répondre ou se bloquer.

Ce rapport affiche, dans la mesure du possible, la demande ou le travail du minuteur responsable de la génération de la requête bloquante et tous les journaux associés. Ceux-ci peuvent être utiles si le blocage est dû à une transaction d’utilisateur final spécifique. Dans ces cas-là, la restructuration d’une liste ou la reconception d’une application qui utilise des requêtes personnalisées peut être souhaitable.

Certains blocages peuvent être évités. Par exemple, les tâches de maintenance de base de données nocturnes bloquent en général de grandes parties de la base de données.

Groupe de rapports Availability

Le groupe de rapports Availability contient plusieurs rapports qui fournissent des informations sur les problèmes et les tendances de disponibilité de la batterie.

Rapport Availability

Ce rapport fournit un graphique de la disponibilité du service Web HTTP. Les baisses de disponibilité indiquent que pendant certaines périodes il se peut que des utilisateurs n’aient pas été en mesure d’accéder à leurs sites SharePoint.

Ce rapport calcule la disponibilité en divisant le nombre de demandes Web satisfaites par le nombre total de demandes envoyées au serveur. Les demandes provenant d’agents automatisés (tels que les robots de recherche) sont dans la mesure du possible ignorées par ce calcul ; cependant, il est possible que certains agents automatisés inconnus ne soient pas exclus.

Vous pouvez agrandir une période de faible disponibilité en la sélectionnant avec votre souris. Les rapports ultérieurs utilisés dans cette enquête se chargeront plus rapidement si vous sélectionnez une petite plage de temps.

Une fois la plage de temps réduite, vous pouvez faire appel au rapport Failed User Requests pour examiner les détails des demandes ayant échoué durant la période sélectionnée.

Les blocages réduisent la disponibilité car les processus sont alors arrêtés sans permettre aux demandes de se terminer correctement. Les processus n’ayant pas l’occasion d’écrire de journaux lors d’un blocage, les demandes qui étaient en cours d’exécution au moment du blocage n’apparaîtront pas dans ces rapports et leur impact sur la disponibilité ne sera pas affiché dans le graphique. Quoi qu’il en soit, les blocages et défaillances doivent toujours faire l’objet d’un examen minutieux.

Les recyclages de processus de travail planifiés réduisent rarement la disponibilité. Le serveur tentera de laisser les demandes d’un processus se terminer correctement tout en démarrant un autre processus afin de gérer les nouvelles demandes. Les recyclages fréquents et non planifiés lors des périodes de trafic plus élevé que la moyenne peuvent provoquer l’échec de certaines demandes si le serveur est dans l’incapacité de répondre aux demandes croissantes d’exécution de plusieurs processus en parallèle.

Rapport SQL Overview

Ce rapport fournit des informations qui peuvent vous aider à mieux comprendre l’état de santé global des ordinateurs SQL Server de votre batterie. Il est axé sur les trois aspects suivants :

Verrouillage/blocage de SQL Server

SQL ServerLe blocage de requête SQL Server peut augmenter les valeurs de durée des requêtes et peut contribuer aux problèmes de disponibilité et à l’accroissement de la latence.

  • Average Lock Wait Time   Des verrous sont maintenus sur des ressources SQL Server, telles que les lignes lues ou modifiées durant une transaction, afin de prévenir toute utilisation simultanée des ressources par différentes transactions. Par exemple, une mise à jour applique un verrou XLOCK et bloque un verrou de lecture partagé. Une durée de verrouillage élevée traduit la présence d’un problème de blocage dans la couche SQL Server et il convient de surveiller les threads à la mise à jour trop lente, qui bloqueront les lectures.

  • Average Latch Wait Time   Un verrou sert principalement à synchroniser des pages de base de données. Chaque verrou est associé à une seule unité d’allocation. Une attente de verrou a lieu lorsqu’une demande de verrou ne peut pas être accordée immédiatement du fait que le verrou est détenu par un autre thread dans un mode conflictuel. Contrairement aux verrous (« locks ») mentionnés ci-dessus, ce type de verrou est libéré immédiatement après l’opération, même lors des opérations d’écriture. Une durée d’attente de verrou élevée peut signifier que le chargement d’une page spécifique en mémoire prend trop de temps.

Lorsque le temps d’attente des verrous est élevé, examinez le rapport SQL Blocking pour identifier les demandes détenant les verrous.

Vous pouvez examiner le rapport SQL Deadlocks pour identifier les requêtes susceptibles d’avoir généré des demandes ayant échoué.

SQL Server Disk IO

Les goulots d’étranglement d’E/S constituent l’un des problèmes de performances courant de SQL Server. Lorsque SQL Server ne dispose pas d’une bande passante d’E/S suffisante pour traiter les requêtes entrantes, les performances de toutes les requêtes et de tous les serveurs Web de la batterie diminuent.

  • Average Disk Queue Length   Cette métrique portent sur les E/S disque globales. Des valeurs élevées traduisent une augmentation globale de la pression sur les E/S ; une valeur supérieure à 10 peut être synonyme de goulot d’étranglement d’E/S.

  • Average Logical Reads / s   Cette métrique portent sur les E/S de lecture de disque. Des valeurs élevées traduisent une augmentation de la pression sur les E/S de lecture.

  • Average Logical Writes / s   Cette métrique portent sur les E/S d’écriture de disque. Des valeurs élevées traduisent une augmentation de la pression sur les E/S d’écriture.

En cas de goulot d’étranglement d’E/S, examinez le rapport SQL Read-Intensive Traces pour identifier les requêtes spécifiques qui consomment le plus de ressources.

SQL Server CPU

Lorsque l’utilisateur du processeur de l’ordinateur SQL Server est excessivement élevée, les requêtes SQL sont mises en file d’attente et les performances des serveurs Web sont amoindries. Les performances d’E/S et de performances sont liées. Par conséquent, lorsque l’utilisation du processeur SQL Server est élevée, les E/S sont aussi généralement élevées. Une utilisation moyenne du processeur de 80 pour cent est considérée comme un goulot d’étranglement.

En cas de goulot d’étranglement de processeur, examinez le rapport SQL Read-Intensive Traces, puis cliquez sur la colonne CPU pour trier d’après le coût des requêtes.

Worker Process Recycles

Les recyclages n’affectent généralement pas la disponibilité. Internet Information Services (IIS) 7.0 crée un nouveau processus, ce qui autorise l’exécution des demandes existantes, puis le processus recyclé est arrêté correctement. Néanmoins, le premier accès à un nouveau processus est susceptible d’être différé durant l’initialisation du processus.

Par défaut, SharePoint Server planifie l’exécution des travaux de recyclage de processus de travail la nuit. Des recyclages fréquents durant les heures de travail peuvent accroître la latence des demandes des utilisateurs finaux. Vérifiez si les paramètres de Web.config ont subi des modifications ou si les paramètres de recyclage ont été modifiés dans les services Internet (IIS).

Failed User Requests

Ces demandes utilisateur ont échoué ou elles étaient si lentes que les utilisateurs ont pu supposé leur échec.

Sélectionnez une demande ayant échoué afin d’extraire ses journaux de suivi. Recherchez les traces qui mentionnent une défaillance d’un composant du système. Si la cause n’est pas apparente, examinez le rapport Windows Events à la recherche de signes d’une défaillance système sur le serveur ou dans les services Internet (IIS).

Si une demande a échoué en raison de sa lenteur, recherchez un espace dans le journal susceptible d’être mis en évidence. Si les lignes avant l’espace indiquent que le délai s’est produit dans SQL Server, il est probable que cette demande a été victime d’un verrou. Examinez le rapport SQL Blocking pour identifier la requête bloquante qui est la cause racine du problème.

Certaines demandes, telles que les téléchargements de gros fichiers, peuvent être longues sans que cela soit synonyme de problème.

Crashes

Ce rapport affiche tous les arrêts intempestifs de processus de travail IIS qui se sont produits durant la période spécifiée. Lorsque vous sélectionnez une ligne dans le rapport du haut, les dernières secondes de suivi du processus en question sont affichées dans le panneau inférieur. Ce suivi peut indiquer la cause du problème.

Les arrêts intempestifs peuvent affecter la disponibilité de manière significative. Le rapport de disponibilité risque de sous-estimer l’effet de ces arrêts car les demandes exécutées au moment où un arrêt intempestif se produit ne sont pas récupérées. Même lorsqu’un tel arrêt n’affecte pas la disponibilité de manière significative, il peut entraîner une perte de données ou d’autres problèmes et doit faire l’objet d’une enquête rigoureuse.

Groupe de rapports Usage

Le groupe de rapports Usage contient plusieurs rapports qui fournissent des informations sur les problèmes et les tendances d’utilisation de la batterie.

Requests Per URL

Ce rapport affiche les URL les plus demandées. Vous pouvez l’utiliser pour identifier les pages faisant l’objet d’un accès fréquent et constituant des candidats haute priorité pour l’optimisation.

Requests Per User

Ce rapport affiche le pourcentage de demandes effectuées par les comptes d’utilisateurs les plus courants. Certains comptes système, tels que le compte de service du robot de recherche, peuvent raisonnablement générer de nombreuses demandes. À certains moments, il se peut également que des utilisateurs exécutent des opérations qui créent une pointe d’utilisation des ressources inattendue.

Application Workload

Ce rapport indique la durée passée à satisfaire les demandes de diverses applications clientes durant une période donnée. Il fournit une estimation des ressources consommées par les demandes des clients et renseigne quant aux aspects suivants :

  • des durées totales élevées indiquent que davantage de mémoire est nécessaire sur les serveurs Web ;

  • des durées de processus SQL Server élevées sont synonymes d’utilisation de processeur ou d’/ES SQL élevées ou indiquent que des demandes provenant d’applications clientes sont bloquées par d’autres requêtes ;

  • des durées de serveur Web élevées peuvent être synonymes d’utilisation de processeur élevée sur les serveurs Web de la batterie.

Requests Per Site

Ce rapport affiche le pourcentage de demandes effectuées à chaque site de la batterie.

Problèmes connus

Cette section répertorie les problèmes connus dans SPDiag 3.0, ainsi que leurs solutions de contournement éventuelles.

SPDiag impose l’activation de la stratégie d’exécution remotesigned dans PowerShell

Si la stratégie d’exécution remotesigned n’est pas activée dans PowerShell sur le serveur de batterie auquel SPDiag est configuré pour se connecter, SPDiag génère un message d’erreur lorsque vous essayez d’entrer le nom du serveur dans la fenêtre New Project de SPDiag. Un message d’erreur semblable au suivant peut s’afficher :

Problem Event Name: CLR20r3

Problem Signature 01: spdiag.exe

Problem Signature 09: System.ArgumentOutOfRange

Pour résoudre ce problème, exécutez la commande suivante à partir d’une invite de commandes Windows PowerShell sur le serveur de la batterie auquel vous souhaitez vous connecter :

Set-ExecutionPolicy RemoteSigned

La connexion au serveur échoue lorsqu’un alias SQL Server est utilisé

Lorsque vous essayez de connecter SPDiag à une batterie à partir d’un ordinateur client distant et que la batterie Produits SharePoint 2010 est configurée de façon à utiliser un alias SQL Server pour se connecter au serveur de bases de données, SPDiag génère l’erreur suivante :

The usage database was not found or was inaccessible.  Please make sure the TTFARM file has the right information and you have access to the server.

Pour résoudre ce problème, installez les outils clients SQL Server sur l’ordinateur sur lequel vous avez installé SPDiag, puis configurez un alias SQL Server qui correspond à l’alias utilisé par la batterie Produits SharePoint 2010.

Certains travaux du minuteur de diagnostics SPDiag nécessitent des privilèges sysadmin ou sqladmin

Certains travaux de diagnostics SPDiag 3.0 exigent que le rôle sysadmin ou sqladmin ait été assigné au compte de batterie sur l’instance de SAL Server où résident les bases de données Produits SharePoint 2010. Si ces rôles n’ont pas été assignés au compte de batterie, il ne disposera pas de privilèges suffisants pour exécuter les travaux de diagnostics nécessaires à la collecte des données de certains rapports.

Les rapports SPDiag ne fonctionnent pas lorsque les paramètres régionaux du système d’exploitation ne sont pas EN-US (1033)

Lorsque les paramètres régionaux de l’ordinateur où vous avez installé SPDiag sont autres que EN-US (1033), les rapports SPDiag ne fonctionnent pas car il est impossible de définir la plage de dates des rapports. À l’heure actuelle, l’unique solution de contournement consiste à sélectionner EN-US comme paramètres régionaux de l’ordinateur client.

Si les serveurs de votre batterie Produits SharePoint 2010 utilisent des paramètres régionaux autres que EN-US, nous vous recommandons d’installer SPDiag sur un ordinateur client.

See Also

Concepts

Kit de ressources d’administration SharePoint 2010 (SharePoint Server 2010)